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Vingt ans après les aventures de Kirikou, Michel Ocelot propose cette fois-ci une aventure telle un jeu de piste captivant, dans le Paris de la Belle-époque (fin XIXe siècle jusqu’à 1914). Les personnages aux regards hypnotiques évoluent dans des décors crées avec des photos repeintes, et sur lesquelles ont été retirés les éléments modernes. Cela plaît ou non.

La petite fille kanake Dilili,  se retrouve dans une enquête à la recherche de fillettes disparues.  Elle rencontre une multitudes de personnages emblématiques de l’époque dans les arts et les sciences : Marie Curie, Louis Pasteur, les artistes de la butte Montmartre comme Picasso, et surtout la cantatrice Emma Calvé.  La BO est d’ailleurs très délicate avec la voix de Natalie Dessay dans le rôle de la cantatrice.

Outre l’aspect artistique, le film aborde la condition féminine, le respect des femmes, le début d’une ère où elles commencent à s’émanciper.

Une aventure poétique

Dilili et ses amis empruntent des moyens de locomotions dans les airs ou sur l’eau dignes de Jules Verne.

Après un passage qui peut s’avérer un peu dérangeant, pour un film censé être pour les enfants, le final de cette fable visuelle et humaniste est magique et émouvant.

NB : ne pas regarder avec des enfants trop jeunes car il s’agit d’enlèvement de fillettes par une secte… et certaines scènes peuvent s’avérer perturbantes, voir dérangeantes. A vous de juger.

Dilili à Paris de Michel Ocelot (2018)
Contes de la nuit et Kirikou

Fanny Souchet, Service culturel des étudiants et des personnels

 

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