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L’exposition et actuellement installée à la Maison de l’étudiant·e Marta Pan. Pour que vous puissiez lire ces textes d’auteurs qui ont connu la persécution du fait de leurs écrits, nous vous proposons toutes les semaines de vous en faire découvrir six.

De tout temps, certains pouvoirs politiques ont tenté de bâillonner le pouvoir des mots et des images.

Cette exposition rassemble une infime partie de celles et de ceux qui, depuis un siècle, ont choisi de parler plutôt que de se taire, de dire «  contre » plutôt que d’abonder dans le sens de la marche.
Cela leur vaut d’avoir connu la prison où certains croupissent encore à ce jour. Cela les a contraints à l’exil que certains connaissent encore volontairement ou non. Cela leur a par-fois coûté la vie.
Qu’ils soient poètes, romanciers, drama-turges, journalistes, dessinateurs de presse, blogueurs, femmes ou hommes, ils ont tous pris la parole qu’on a voulu de force leur retirer.
L’exposition propose à travers 22 panneaux de mettre en lumière l’engagement et le travail de personnes qui ont connu ou connaissent encore l’oppression.

Il s’agit de rendre hommage à leur courage et d’aider à la prise de conscience de la fragilité de la liberté d’expression dans de nombreuses parties du monde. Faire apparaître leurs noms, et expliquer succinctement leurs parcours et leur travail, permet de donner une identité à ces différents acteurs aux prises avec la per-sécution. Ils doivent rester visibles aux yeux du public pour que leurs situations ne tombent pas dans l’oubli.

Régulièrement, les sites de Human Rights Watch, Amnesty International, Reporters sans Frontières, Blogueurs sans Frontières, P.E.N. International – par son Comité des écrivains en prison / Writers in Prison Committee (WIPC)  -, de la Maison des Journalistes et d’autres encore, informent de la situation d’écrivains et publient des appels, des reportages, des entretiens, proposent des actions, lancent des pétitions, …
L’atelier des artistes en exil (aa-e), quant à lui, propose à des artistes, quelle que soit leur discipline, de pouvoir continuer à l’exercer.


Une exposition de La Commanderie – Les Écritures contemporaines de Saint-Quentin-en-Yvelines avec la collaboration de :
– la Maison des Journalistes de Paris
l’atelier des artistes en exil,
et le soutien d’Amnesty International à l’occasion de la 10e Semaine des écrivain.e.s persécuté.e.s, emprisonné.e.s et empêché.e.s.

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